Le tamis prend le sens interdit.

Le tamis de chantier, un objet déco… Hum, ça vous surprend?

Pas moi, en tout cas, je l'avais déjà vu chez Monsieur Récup'!

("Ce monstre donne du fil à retordre", lien sur le côté)

Exercice facile et peu onéreux!

Et pour ce faire, il ne faut pas grand chose:

Un tamis de chantier récupéré (1€), un petit bout de planche (pour l'étagère), de la sous-couche, un petit pot de peinture "cerise" (V33, 75ml, 2,50 €), un peu de papier washi (Adeline Klam, 8 € la demi-feuille), du ruban de masquage "spécial angles" (pour protéger le grillage des éclats de peinture), de la colle blanche et un pinceau.

Comme une roue géante, ça tourne!

Un faux air de "sens interdit" avec la planche, ne trouves-tu pas?

Hi, Hi!

ça me donne une idée… Viens, on va faire une blague à Damien!

Fichtre! J'en crois pas mes yeux, je passe par là tous les jours pour aller gagner des millions et je n'ai jamais vu de sens interdit!

Le temps, c'est de l'argent!

Ah, cette blague m'a fait perdre dix minutes… autant dire 10 millions!

Test robustesse.

La planche, coupée à la juste largeur, se cale toute seule (sans fixation), grâce à la forme arrondie du tamis. Et c'est du costaud. La preuve: un hippopotame l'a testée.

Les murs en rigolent encore!